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Bienvenue sur mon blog Le Togo porte plainte pour acte de terrorisme 5 février 2010 Lomé a décidé d’attaquer le groupe séparatiste visiblement à l’origine de l’attaque qui avait fait deux morts parmi l’équipe de foot. La plainte vise également la fédération africaine. L’Etat togolais a décidé de porter plainte pour « acte de terrorisme » contre le Flec (les Forces de Libération de l’Etat du Cabinda/Position Militaire), qui avait revendiqué l’attaque contre le bus transportant les joueurs nationaux en route pour la Can. Dans son élan, le Togo a également attaqué la Confédération africaine de football (CAF) et son président Issa Hayatou. Cette plainte a été déposée par le Togo et les ayants-droit des deux personnes tuées au cours de l’attaque pour « actes de terrorisme », « assassinats et complicité d’assassinats », « atteinte involontaire et volontaire à la vie d’autrui » et « exposition d’autrui à des risques de mort et blessure ». Le dossier sera traité par la justice française, qui déterminera en premier lieu si elle a une compétence pour enquêter sur cet attentat qui n’a pas fait de victime française. Le parquet de Paris a ouvert parallèlement une enquête préliminaire mi-janvier pour « apologies d’actes de terrorisme » après les propos du Français originaire du Cabinda, Rodrigues Mingas, secrétaire général du mouvement rebelle, qui avait déclaré que « les armes allaient « continuer à parler » après cette attaque. Le bus transportant la délégation togolaise à la Coupe d’Afrique des nations (CAN-2010) dans l’enclave angolaise de Cabinda avait été mitraillé le 8 janvier par des séparatistes, faisant 2 morts parmi ses membres. Cette attaque avait amené les Togolais à se retirer de la compétition après de nombreux rebondissements. Samedi dernier, la fédération africaine avait décidé de suspendre pour deux Coupes d’Afrique des nations le Togo. Posté dans actualité , Sport | 1 Commentaire » Alerte sur le Bisphénol A 5 février 2010 Alors que des études internationales alertent sur les risques pour la santé de ce composant du plastique alimentaire, des politiques et des associations pressent le gouvernement d’agir. Rappellons que le Bisphenol A (BPA) est accusé de perturber le système endocrinien et d’avoir des conséquences sur l’obésité, les cancers du sein et de la prostate, le diabète, les dysfonctionnements thyroïdiens et les problèmes d’attention chez les enfants. Pour les politiques et les associations, il faut agir maintenant. Pour l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa), il s’agit pour l’instant d’ »effets subtils », de « signaux d’alerte » à vérifier. Le sujet de leur controverse? Le Bisphénol A, ce composé chimique présent dans les plastiques alimentaires, qui fait débat depuis plusieurs années. L’Afssa a rendu, ce vendredi, son compte-rendu sur denouvelles études internationales concernant le Bisphenol A (BPA). Alors qu’en 2008, elle avait conclu à l’absence de risque, l’Afssa fait marche arrière. Elle annonce qu’elle va désormais « poursuivre son travail d’expertise » et recommande « d’éviter de chauffer à trop forte température l’aliment » contenu dans des biberons contenant du BPA ou dans des récipients en polycarbonate. Or la pratique courante reste de chauffer les biberons au micro-ondes. La mesure ne satisfait pas. Gérard Bapt, député PS de Haute-Garonne, ainsi qu’André Cicolella, porte-parole du Réseau environnement santé, ont regretté vendredi que, tout en reconnaissant un problème avec le Bisphénol A, Afssa n’en tire pas les conséquences. Gérard Bapt a déjà interdit la commercialisation des biberons contenant du BPA dans la petite ville de Saint-Jean (Haute-Garonne) dont il est maire. Il juge qu’il y a maintenant « urgence », et a souligné que la balle était désormais « dans le camp de la décision politique ». La secrétaire nationale des Verts, Cécile Duflot, a également réitéré sa demande de retrait de tous les biberons contenant du BPA et rappelle dans un communiqué que le Canada a interdit le composant depuis 2008. Pressée d’agir par le député Nouveau Centre Jean-Christophe Lagarde en avril 2009, la ministre de la Santé avait répondu: « Les autorités canadiennes ont décidé cette interdiction sous la pression de l’opinion publique, sans que cette décision repose toutefois sur aucune étude scientifique sérieuse. » Les dernières parutions vont-elles faire évoluer sa position? Le dossier du Réseau environnement santé sur le sujet en cliquant ici. Posté dans Non classé | Aucun commentaire » La France renforce ses effectifs en Afghanistan a minima 5 février 2010 Paris envoie 80 instructeurs supplémentaires sur le terrain. On est loin de 1500 renforts demandés à la France par les Etats-Unis. Environ 80. Le ministre de la Défense, Hervé Morin, a enfin dévoilé le nombre de militaires que la France a décidé d’envoyer en Afghanistan, pour augmenter son dispositif. Cette annonce tardive – la décision a été prise en conseil restreint avant la conférence de Londres du 28 janvier – et la relative faiblesse du renfort témoignent de la prudence française dans cette guerre qui n’en finit pas. Sans surprise, ces soldats seront des instructeurs. Ils devront accompagner la montée en puissance de l’armée nationale afghane, notamment la nouvelle école de blindés et de cavalerie. Les Français formeront également l’ossature d’une nouvelle OMLT (Operational mentoring liaison team, dans le jargon de l’Otan, la 7e tricolore), qui encadre les bataillons afghans. Celle-ci sera déployée, « au printemps », dans la zone de responsabilité des Français, Kapisa-Surobi, à l’est de Kaboul. Washington envoie 30 000 marines supplémentaires et souhaitait voir ses alliés contribuer à « partager le fardeau ». La France a donc répondu présent aux demandes américaines. Mais a minima. Washington réclamait à ses alliés 5000 soldats supplémentaires, dont 1500 à Paris. On est loin du compte. Pour Nicolas Sarkozy, la question afghane est devenue une affaire intérieure, donc sensible. Depuis l’embuscade de la vallée d’Uzbin, où dix soldats français sont tombés, le 18 août 2008, l’opinion a pris conscience que nos soldats menaient de vraies opérations de guerre. Hostiles à l’intervention militaire en Afghanistan, les Français étaient prêts à accepter des renforts – à une courte majorité: 52%, selon BVA – à la condition qu’il se bornent à former l’armée afghane. Le président semble les avoir écoutés. « Pas un combattant de plus » Pressé par les Américains d’accompagner leur propre effort militaire – 30 000 hommes – Nicolas Sarkozy lançait au Figaro l’automne dernier: « Pas un soldat de plus ». Une position intenable alors que les Britanniques, les Allemands et les Italiens annonçaient de leur côté des renforts, malgré une forte contestation de leurs opinions publiques. Sur TF1, le 25 janvier, le président a amendé sa position: « Pas un combattant de plus », déclare-t-il. Une nuance toute rhétorique. Les soldats intégrés dans les OMLT sont bien des formateurs, mais, sur le terrain, il en va autrement. Les Français qui encadrent des soldats afghans sont quotidiennement pris à partie, car ils les accompagnent dans leurs opérations. Plusieurs d’entre eux sont morts. Cependant, l’envoi de moins d’une centaine d’hommes ne devrait pas créer de turbulences intérieures. Aux yeux des alliés, en revanche, la décision française paraît minimaliste: l’Italie doit envoyer un millier de soldats supplémentaires, la Grande-Bretagne et l’Allemagne, 500 chacun. Posté dans Non classé | Aucun commentaire » Michael Buble 5 février 2010 Posté dans Non classé | Aucun commentaire » Après Obama et Lincoln, bientôt Sarkozy dans une pub pour vêtements? 5 février 2010 Cette marque de vêtements américaine aime les people pour ses campagnes. Mais pas n’importe lesquels. Il lui faut du mâle… et du mâle puissant. Les 2 dernières cibles : des présidents américains. Parce qu’avec leurs slogans « A leader in style » (« un leader qui a du style ») ou « Fit for a president » (« parfait pour un pré